Depuis combien de temps tournez-vous autour du pot?
Tournez-vous autour du pot? Pour ceux et celles qui ne connaissent pas cette expression populaire du Québec, «tourner autour du pot» signifie hésiter, tergiverser, parler, agir ou user de détours, de faux-fuyants, avant d'aborder franchement un sujet, pour éviter de dire nettement quelque chose ou pour retarder une décision, et dans le cas qui nous intéresse ici, une guérison.
L’humain a souvent des réactions fascinantes, spontanées et non conscientes qui mènent trop souvent à un éloignement de son potentiel infini comme savoir guérir. Tout ça parce que son mental inférieur [1] a pris le contrôle de leur vie, sans qu’il le sache et s’en aperçoive. D’ailleurs, ce sujet est très bien expliqué dans notre livre Ce que cerveau crée, cerveau guérit.
Tous les jours, nous croisons des gens qui veulent guérir!
Certains réussissent et nous les félicitons chaleureusement. Ils sont entrés dans le pot… Précisons bien ici être guéris sans avoir besoin d’une quelconque médication pour bien vivre. Dans le cas où il y a un besoin de médication, il n’y a pas de guérison complète.
Toutefois, d’autres ont une tendance à tourner autour du pot. Ils :
- «pansent» le bobo en ingurgitant ou appliquant des substances médicamenteuses ou autres, sans l’avoir guéri en profondeur. * Cette prochaine note est très importante. Si c’est votre cas, n’arrêtez surtout pas de prendre ce qu’un médecin vous a prescrit. Continuez jusqu’à ce que lui, considère votre état comme étant guéri.
- essaient plusieurs avenues, sans atteindre les résultats de guérison escomptés. Ce sont souvent de très bonne méthode pour améliorer votre état d’être, mais pour guérir… soit c’est plus long, soit ça ne guérit pas complètement,
- pensent tout savoir, disent qu’ils ont tout compris sur leur maladie, mais ils sont encore malades.
- cherchent des sauveurs, sans faire de véritables cheminements intérieurs évolutifs,
- ne savent pas qu’il existe d’autres options que la médecine traditionnelle,
- cherchent des solutions faciles, qui ne leur demanderont pas d’effort ni d’applications précises à mettre en pratique dans leur vie pour atteindre leur objectif supérieur…
Si vous vous reconnaissez quelque part dans tout ça, nous vous comprenons tellement. Si une colère, une culpabilité ou une dévalorisation monte, respirez profondément et écoutez-la. Elle a quelque chose à vous raconter. Mais surtout, sachez que votre réaction est normale, car elle répond exactement à des histoires que vous entretenez dans votre mental inférieur.
Sachant cela, nous vous conseillons d’ouvrir encore plus grand vos antennes et de tenter de ne plus tomber dans le piège de croire des faussetés et de détruire des vérités. Vérifiez, renseignez-vous, tentez de comprendre et restez ouvert à reconnaître le vrai du faux. C’est tellement facile de penser ou de dire n’importe quoi sans comprendre la profondeur d’un enseignement qui fonctionne. Soyez prudent avec tout ça.
Selon notre expérience et les réussites de nos clients à guérir, la capacité d’aller directement à la souche du bobo, c’est-à-dire trouver l’histoire qui a créé le malaise, est d’une rapidité peu commune. Par le sens de perception claire, pratiqué et enseigné à l’Institut PH, c’est possible d’y parvenir. Tous les jours, Jean-Pierre y arrive. Tous les jours, il guide des êtres, comme vous, à des guérisons physiques et intérieures. Son but est d’aller le plus directement possible à l’élément précis qui enclenche la guérison.
Nous pouvons aussi comparer le « pot » d’une maladie, d’un malaise ou d’un mal-être, à un oignon. La maladie a une souche, un cœur, comme l’oignon. Elle a également des couches de stress, plus ou moins intenses selon les personnes, comme l’oignon a des couches plus ou moins épaisses selon sa maturité et sa croissance. Lorsque vous entamez une telle démarche de guérison, vous devez absolument accepter ce fait qui est unique à chacun. Nuls ne guérissent de la même façon, nuls n’ont le même parcours de vie. Il est important d’accepter votre unicité à travers votre cheminement. Il aide grandement à réussite de vos objectifs.
À l’Institut d’enseignement du Potentiel Humain (PH), tourner autour du pot ne nous intéresse pas. Nous sommes renommés pour aller droit au but… dans le pot et le cœur des vérités, enseignées par les malaises, les maladies et les mal-êtres. Si Jean-Pierre ne percevait pas les vérités ni ne les verbalisait à ses clients, jamais il n’aurait autant de résultats de guérison depuis 31 ans. Seules des vérités peuvent directement faire réagir rapidement, sainement, et guérir le corps et l’être humain.
Que dites-vous d’être protégé par des stress et des limites enregistrés dans votre mental inférieur, nuisibles à votre bonheur. Ne préféreriez-vous pas vous ouvrir à votre plein potentiel en classant ses stress et enfin vivre une vie plus riche et épanouie ?
Toutes les histoires que vous vous racontez, qui ne vous amènent pas à prendre conscience de vos vérités, vous feront tourner autour du pot. Et ce pot, il peut être petit, gros, peu ou très abîmé. Votre pot est unique à vous. Il ne peut pas être comparé avec d’autres.
En d’autres mots, les vérités cachées qui animent votre corps peuvent prendre un certain temps à être prêtes à ressurgir de votre mental. Toujours par respect de son contenu... Pensez-y ! Il pense toujours vous protéger et vous lui avez donné ce pouvoir pendant combien d’années jusqu’à maintenant ? Ceux qui réussissent sont ceux qui vont jusqu’au bout. Tous ceux qui ne le font pas recommencent à tourner autour du pot pour un certain temps.
Une décision s'impose!
Continuer de tourner autour du pot, mais encore, pour combien de temps... OU commencer à y voir et à y comprendre le contenu pour vous transformer à meilleur.
Alors, si vous êtes fatigué de tourner autour du pot et êtes prêt à aller jusqu’au bout pour atteindre un objectif précis dans votre vie, réservez un temps de Lecture de corps avec Jean-Pierre en téléphonant au 450-227-2015.
Amour et Lumière
Karine Banville
[1] Boîte d’enregistrement, liée à votre cerveau, de tous les stress non gérés dont le contenu se déclenche pour des raisons précises, mais surtout par survie de ne pas revivre ces dits stress.
